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@book{ Kohnert2008,
 title = {EU-African Economic Relations: Continuing Dominance, Traded for Aid?},
 author = {Kohnert, Dirk},
 year = {2008},
 series = {GIGA Working Papers},
 pages = {29},
 volume = {82},
 address = {Hamburg},
 publisher = {GIGA German Institute of Global and Area Studies - Leibniz-Institut für Globale und Regionale Studien},
 doi = {https://doi.org/10.2139/ssrn.1155041},
 urn = {https://nbn-resolving.org/urn:nbn:de:0168-ssoar-55637-2},
 abstract = {Promising growth rates, increased trade, and competition among major global players for African resources have boosted the development and bargaining power of sub-Saharan Africa (SSA) in relation to the EU. However, Africa's least developed countries remain vulnerable to external shocks. Academic analysis is still too heavily influenced by scholastic controversies. Neither the controversy over “big-push” concepts nor the blaming of African culture as an impediment to growth or good government do justice to the real issues at stake. Even beyond the aftermath of (neo)colonialism, and notwithstanding continuing deficits in good government in many African countries, the EU bears responsibility for the fragile state of many African economies. The self-interested trade policies of the EU and other world powers contribute to poverty and unsatisfactory development in SSA. This threatens to perpetuate asymmetrical power relations in the new Economic Partnership Agreements (EPAs), to the detriment of regional integration and pro-poor growth. However, mounting competi-tion between China and other global players for Africa's resources is resulting in windfall profits for Africa. The latter is leading to a revival of seesaw politics, already known from the times of the Cold War, on the part of African states. This could be profitable for Africa's power elite, but not necessarily for Africa's poor.Les taux de croissance prometteurs, le commerce accru et la concurrence entre les principaux acteurs mondiaux pour les ressources africaines ont renforcé le pouvoir de développement et de négociation de l'Afrique subsaharienne (SSA) par rapport à l'UE. Cependant, les pays les moins avancés d'Afrique restent vulnérables aux chocs extérieurs. L'analyse académique est encore trop fortement influencée par les rivalités scolaires. Ni la controverse sur les concepts "big-push" ni le blâme de la culture africaine comme un obstacle à la croissance ou au bon gouvernement rendent justice aux vrais enjeux en jeu. Même après la suite du (néo) colonialisme, et en dépit des déficits persistants du bon gouvernement dans de nombreux pays africains, l'UE est responsable de l'état fragile de nombreuses économies africaines. Les politiques commerciales égoïstes de l'UE et d'autres puissances mondiales contribuent à la pauvreté et à un développement insatisfaisant en Afrique subsaharienne. Cela menace de perpétuer les relations de pouvoir asymétriques dans les nouveaux accords de partenariat économique (APE), au détriment de l'intégration régionale et de la croissance en faveur des pauvres. Cependant, la concurrence croissante entre la Chine et d'autres acteurs mondiaux pour les ressources de l'Afrique entraîne des profits imprévus pour l'Afrique. Ce dernier conduit à un renouveau de la politique de bascule, déjà connue depuis les temps de la guerre froide, de la part des États africains. Cela pourrait être rentable pour l'élite du pouvoir en Afrique, mais pas nécessairement pour les pauvres de l'Afrique.},
 keywords = {Afrika; Africa; EU; EU; Wirtschaftsbeziehungen; economic relations; wirtschaftliche Zusammenarbeit; economic cooperation; Außenhandelspolitik; export policy; Neokolonialismus; neocolonialism; Handelspolitik; trade policy; Handelshemmnis; trade barrier; Wirtschaftsentwicklung; economic development (on national level); Nachhaltigkeit; sustainability; regionale Integration; regional integration; Migration; migration; Entwicklungsland; developing country}}