Bibtex export

 

@article{ Sobotka2009,
 title = {Sub-replacement fertility intentions in Austria},
 author = {Sobotka, Tomáš},
 journal = {European Journal of Population / Revue européenne de Démographie},
 number = {4},
 pages = {387-412},
 volume = {25},
 year = {2009},
 doi = {https://doi.org/10.1007/s10680-009-9183-0},
 urn = {https://nbn-resolving.org/urn:nbn:de:0168-ssoar-203980},
 abstract = {Combining the data of the 1986–2001 Microcensus surveys, I reconstruct trends in fertility intentions across time and over the life course of Austrian women born since the 1950s. Young adults in Austria expressed fertility intentions that were below the replacement-level threshold as early as in 1986 and women born since the mid-1950s consistently desired fewer than two children on average throughout their reproductive lives. A two-child family norm, however, still clearly dominates the fertility intentions of different age, cohort and education groups. Uncertainty about childbearing intentions is rather common, especially among younger and childless respondents. Different assumptions about reproductive preferences of undecided respondents affect estimates of the mean intended family size. Although Austrians were among the first in Europe to express low fertility intentions, their position is no longer unique. By the early 2000s, young women in a number of other European countries also expressed sub-replacement fertility intentions.A partir des données des enquêtes de Microcensus de la période 1986–2001, nous avons reconstruit l’évolution dans le temps et au cours de la biographie des intentions de fécondité des femmes autrichiennes nées dans les années 50. Les jeunes adultes en Autriche exprimaient déjà des intentions de fécondité inférieures au seuil de remplacement dès 1986, et les femmes nées au milieu des années 50 souhaitaient moins de deux enfants en moyenne tout au long de leur vie reproductive. Une norme de deux enfants par famille domine toutefois clairement les intentions de fécondité des différents groupes d’âge, de cohorte et de niveau d’éducation. L’incertitude à propos des intentions de fécondité est plutôt répandue, en particulier parmi les enquêtés jeunes et sans enfant. Les hypothèses concernant les préférences des enquêtés indécis conditionnent les estimations de la taille souhaitée de famille. Bien que les autrichiens aient été les premiers à exprimer des intentions de fécondité basses, leur situation n’est plus unique: au début des années 2000, les jeunes femmes d’un certain nombre d’autres pays européens avaient des intentions de fécondité inférieures au seuil de remplacement.},
}