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@article{ Rijken2008,
 title = {The influence of partner relationship quality on fertility},
 author = {Rijken, Arieke J. and Liefbroer, Aart C.},
 journal = {European Journal of Population / Revue européenne de Démographie},
 number = {1},
 pages = {27-44},
 volume = {25},
 year = {2008},
 doi = {https://doi.org/10.1007/s10680-008-9156-8},
 urn = {https://nbn-resolving.org/urn:nbn:de:0168-ssoar-123336},
 abstract = {This study examines whether partner relationship quality influences fertility, and if so, in which direction and which aspects of relationship quality are relevant. Competing hypotheses are tested. One hypothesis assumes that higher relationship quality leads to higher rates of childbearing, as a high-quality relationship offers the most favourable environment to raise children. An opposite hypothesis expects that lower relationship quality leads to higher rates of childbearing, as couples might have children in order to improve their relationship. Hazard analyses are performed using three waves of the Panel Study on Social Integration in the Netherlands. Findings indicate that positive as well as negative interaction between partners has a negative effect on first- and higher-order birth rates. This suggests that couples are most likely to have children if they do not have too much negative interaction, but neither interact in a very positive way. Value consensus negatively influences higher-order birth rates.Cette étude examine l’influence de la qualité de la relation avec le partenaire sur la fécondité, et cherche à identifier les aspects de la relation les plus pertinents par rapport à cette question. Différentes hypothèses sont explorées. La première postule que plus la qualité de la relation est bonne, plus la fécondité est élevée, car une relation de bonne qualité offre le contexte le plus favorable pour élever des enfants. A l’opposé, une deuxième hypothèse postule que plus la qualité de la relation est mauvaise, plus la fécondité est élevée, car les couples pourraient avoir des enfants pour améliorer leur relation. Des modèles de durée sont utilisés pour analyser les trois vagues du Panel d’Etude de l’Intégration Sociale aux Pays-Bas. Il apparaît que les interactions positives, de même que les interactions négatives entre partenaires ont une influence négative sur les naissances de rang 1 et sur les suivantes. Ce résultat suggère que les couples ont le plus de chances d’avoir des enfants s’ils ont des interactions qui ne sont ni trop bonnes, ni trop mauvaises. L’accord entre partenaires au niveau du système de valeurs influence de façon négative les naissances de rang supérieur.},
}