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%T Immigrant fertility in West Germany: is there a socialization effect in transitions to second and third births?
%A Milewski, Nadja
%J European Journal of Population / Revue européenne de Démographie
%N 3
%P 297-323
%V 26
%D 2010
%K Birth transitions; Life-course analysis; Migrant workers; Germany; Intensity-regression model; Passage au deuxieme et au troisieme enfant; Analyse de parcours de vie; Travailleurs migrants; Allemagne; Modèles de régression à risques instantanés
%= 2010-11-11T10:06:00Z
%~ http://www.peerproject.eu/
%> https://nbn-resolving.org/urn:nbn:de:0168-ssoar-204102
%X In this paper on immigrant fertility in West Germany, we estimate the transition rates to second and third births, using intensity-regression models. The data come from the German Socio-Economic Panel Study. We distinguish women of the first and the second immigrant generations originating from Turkey, the former Yugoslavia, Greece, Italy, and Spain, and compare their fertility levels to those of West German women. In the theoretical framework, we discuss competing hypotheses on migrant fertility. The findings support mainly the socialization hypothesis: the transition rates of first-generation immigrants vary by country of origin, and the fertility patterns of migrant descendants resemble more closely those of West Germans than those of the first immigrant generation. In addition, the analyses show that fertility differentials between immigrants and women of the indigenous population can largely, though not in full, be explained by compositional differences.
%X Dans cet article relatif à la fécondité des immigrées en Allemagne, le passage du premier au deuxieme enfant et dans celui du deuxieme au troisieme enfant est estimé à partir de modèles de régression à risques instantanés. Les données utilisées proviennent de l’étude de Panel socio-économique allemand. On distingue les femmes immigrées de première ou de seconde génération originaires de Turquie, d’ex-Yougoslavie, de Grèce, d’Italie et d’Espagne, et leurs niveaux de fécondité sont comparés à ceux des femmes ouest-allemandes d’origine. Des hypothèses concurrentes sur la fécondité des immigrés sont discutées dans le cadre théorique. Les résultats vérifient principalement l’hypothèse de la socialisation : le passage au deuxieme et au troisieme enfant de la première génération d’immigrés varie selon le pays d’origine, et le profil de fécondité par âge des descendantes d’immigrées se rapproche plus de celui des femmes ouest-allemandes que de celui des immigrées de première génération. De plus, les analyses montrent que les différences de fécondité entre les immigrées et les femmes ouest-allemandes peuvent être en grande partie, mais pas totalement, expliquées par des différences de structure.
%C DEU
%G en
%9 journal article
%W GESIS - http://www.gesis.org
%~ SSOAR - http://www.ssoar.info