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@article{ Gabrielli2009,
 title = {Italy's non-negligible cohabitational unions},
 author = {Gabrielli, Giuseppe and Hoem, Jan M.},
 journal = {European Journal of Population / Revue européenne de Démographie},
 number = {1},
 pages = {33-46},
 volume = {26},
 year = {2009},
 doi = {https://doi.org/10.1007/s10680-009-9193-y},
 urn = {https://nbn-resolving.org/urn:nbn:de:0168-ssoar-204033},
 abstract = {Italy has long been regarded as the country with negligible non-marital cohabitation par excellence, but lately the pattern has begun to change and entry into consensual unions has increased strongly in younger Italian generations. This article is devoted to a study of such features between 1980 and 2003 based on the data from the Italian variant of the Gender and Generations Survey, Round 1. We consider entry into marriage and entry into cohabitation as competing risks and show how the incidence of cohabitation consistently much lower but has increased by some 70% over the 20-odd years of our study, while the marriage rate has dropped by almost as much. We find great variation across major regions of the country. The rise in cohabitation is confined to Northern and Central Italy, while the risk of marriage formation has declined strongly all over the country. Unlike previous investigations, our data suggest that non-marital cohabitation may be taking over whatever minor role civil marriage has had in Italian union formation.L’Italie a longtemps été considérée comme le pays par excellence où la cohabitation hors mariage est exceptionnelle, mais la situation a récemment changé, compte-tenu de la forte progression de ce type d’union au sein des jeunes générations en Italie. Cet article, qui est consacré à l’étude du choix de la forme d’union entre 1980 et 2003, s’appuie sur les données de la première vague de l’Enquête italienne Générations et Genre. Nous considérons que le choix de débuter une union par une cohabitation hors mariage et le choix de la débuter par un mariage sont associés à des risques compétitifs, et démontrons que l’incidence de la cohabitation est toujours plus faible que celle du mariage, mais qu’elle a augmenté de près de 70 % sur la vingtaine d’années couvertes par notre étude, pendant que l’intensité du mariage baissait d’autant. Nous observons également d’importantes variations entre les grandes régions du pays: la hausse de la cohabitation est limitée à l’Italie du Nord et du Centre, alors que la nuptialité a fortement décru dans tout le pays. A l’opposé des travaux antérieurs, nos données suggèrent que la cohabitation hors mariage pourrait être en train de supplanter le mariage civil -au rôle toutefois réduit- comme forme d’union en Italie.},
}